La veille, mon carburant de formateur freelance indépendant

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Si je devais résumer mon métier de formateur indépendant en un mot, ce serait « adaptation ». En tant que formateur digital et créateur de contenu pédagogique, la veille professionnelle, c’est mon arme secrète pour rester toujours à la pointe. Sans elle, je serais vite dépassé, avec des méthodes classiques dépassées.

Quand je me lève, ma première question c’est : qu’est-ce qui bouge aujourd’hui dans le digital et la formation ?

La veille professionnelle : un travail quotidien… et indispensable

La veille pédagogique, numérique et réglementaire n’est pas une tâche accessoire. C’est mon essentiel.

Je m’appuie sur des outils incontournables pour être à l’affût des dernières tendances : daily.dev pour les nouveautés tech, dev.to pour les articles d’experts, X.com (ex-Twitter) pour le partage et l’actualité en temps réel, LinkedIn pour le réseau et les insights professionnels, et YouTube pour tutoriels et conférences.

Je complète cette base avec une veille globale sur le numérique grâce au site de TontonFranck, une véritable mine d’or pour comprendre les grandes évolutions du secteur digital.

Ma routine de veille, au fil de la journée

Chaque matin sans intervention, je démarre par un petit tour sur dev.to, là où les experts partagent leurs dernières trouvailles techniques.

Sur dev.to, je capte les idées fraîches et les retours d’expérience. C’est ma dose d’inspiration technique.

Ensuite, direction X.com pour attraper le pouls du moment, ce qui fait buzz, les liens partagés en direct. Après, LinkedIn pour un passage rapide dans mon réseau pro, les infos utiles et les articles plus longs. Enfin, je fais un saut sur daily.dev, qui m’envoie une synthèse bien ciblée des nouveautés tech.

Le soir, c’est séance Youtube. Parfois un tuto rapide, parfois une conférence complète, selon mon temps et mes besoins.

Ce que j’apprends, je le partage dans mes formations

Ce qui me paraît intéressant, je l’intègre dans mes modules. Par exemple, quand j’ai découvert une nouvelle fonctionnalité dans un outil collaboratif, je l’ai directement testée avec un groupe d’apprenants.

Il ne s’agit pas de raconter ce que j’ai lu, mais de faire vivre ces nouveautés, de montrer comment elles peuvent changer le travail de chacun.

Les stagiaires adorent cette fraîcheur, ce côté « direct du terrain ». Pour les organismes, c’est la garantie d’une formation moderne, dynamique, en phase avec les enjeux actuels.

Toujours apprenant, toujours curieux

Être formateur indépendant, c’est aussi apprendre sans cesse. Je me nourris des échanges avec d’autres professionnels, des nouveautés CPF, des outils d’évaluation, des méthodes numériques… Cela me permet d’adapter en permanence mes contenus.

Cette posture fait de moi un partenaire engagé, capable de co-construire avec les organismes des formations sur-mesure, innovantes et efficaces.

La co-veille : accélérateur d’idées et d’énergie collective

Mais je ne veille pas toujours seul. La co-veille avec mes pairs et les équipes pédagogiques dynamise notre travail au quotidien, et rends les nouveautés plus simples à comprendre, nous prenons de temps en temps des heures dans nos longues journées pour tester des nouveaux outils ensemble.

Travailler en réseau, partager ses veilles, c’est multiplier la richesse des savoirs et gagner un temps précieux.

Investir dans cette veille structurée, c’est assurer la qualité pérenne des formations proposées par les organismes, et l’assurance d’être reconnu comme un véritable professionnel du web. Personnellement faire ma veille n’est pas considéré comme une corvée dans mon état d’esprit de tous les jours.

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